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Du bio et de l’éthique

La boutique créée par l’association Ayni, est gérée par un comité de gestion majoritairement bénévole. Ses collections de vêtements pour femmes et hommes, misent en outre sur la transparence de leurs origines. Les marques de robes, chemises, pantalons et accessoires détaillent, sur le site internet de la boutique, la provenance des matières. Ces différentes gammes sont bios, éthiques ou conçues à partir de matériau recyclé. Ainsi les accessoires Coco Ricco sont réalisés artisanalement à partir d’anciens vêtements de cuir découpés, dégraissés et entoilés. Un mot sur le nom de la boutique : Ayni signifie, en langue Quechua, une forme d’aide mutuelle pratiquée par les peuples autochtones andins.
Ce terme est l’héritage de projets de coopération Nord-Sud que l’association a développé dans les années 2000 en Bolivie. 

boutiqueayni.org

3 rue John-Grasset, 1205 Genève

Arrêt : Pont-d’Arve // Trams : 12, 15, 17, 18 ; Bus 1

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Dès le 4 juillet 2021, la ligne de tram 14 vous mènera enfin jusqu’à Bernex !

En 2020, la pandémie de coronavirus avait impacté la progression des chantiers dans le canton en les mettant à l’arrêt pendant plusieurs semaines ; pour les tpg cela aura eu pour conséquence directe un retard dans la mise en service du prolongement de la ligne de tram 14, initialement prévue pour décembre 2020. 

Les travaux ont depuis repris et le chantier a pu avancer selon le nouveau calendrier. Aussi, comme nous vous l’annoncions dans le dernier numéro du Où Bien !? de décembre 2020, le prolongement de la ligne de tram 14 jusqu’à Bernex sera bel et bien mis en service cet été. Ce sera donc au tout début des grandes vacances scolaires d’été que Bernésiennes et Bernésiens verront arriver dans leur commune le tram 14, qui aura pour terminus le tout nouvel arrêt Bernex-Vailly. 

Les tpg accueilleront officiellement le dimanche 4 juillet 2021 leurs premiers clients sur ce tracé végétalisé de 2,3 kilomètres, le long duquel 542 nouveaux arbres ont été plantés, et composé de quatre nouveaux arrêts : Bernex-Pré-Marais, Bernex-Luchepelet, Bernex-Hainard et Bernex-Vailly. L’arrêt Bernex-P+R sera alors à nouveau desservi bien que déplacé. Dès sa mise en service, cette nouvelle offre permettra de rapprocher les habitants de Bernex du cœur de Genève, en reliant le secteur de Bel-Air en 27 minutes et celui de la gare de Cornavin en 32 minutes. Avec une fréquence de 4,5 minutes aux heures de pointe, cette nouvelle liaison offrira non seulement un accès facilité à l’ensemble du réseau des tpg mais aussi à celui du Léman Express. Toutefois – et une fois n’est pas coutume – l’incertitude liée à la situation sanitaire ne permettra pas, a contrario des autres mises en services de lignes de tram, de célébrer l’inauguration de ce prolongement avec le public. 

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, les clients de la ligne 14 auront également la chance de circuler régulièrement à bord des toutes nouvelles rames de tramway du fabricant suisse Stadler, arborant fièrement les couleurs traditionnelles des tpg, soit le orange et le blanc. En effet, après des réflexions nous ayant mené au constat que les Transports publics genevois – tpg ont toujours été orange dans l’inconscient collectif genevois, nous avons décidé de revenir progressivement à notre dynamique couleur historique. Après les trolleybus Exqui.City, les bus électriques TOSA, les véhicules autonomes 100 % électriques et quelques autobus nouvellement mis en circulation (principalement sur des lignes régionales), c’est au tour des tramways d’afficher petit à petit ce design d’origine orange et blanc. Le premier d’une série de 9 neuf trams, modèle Tango, aux « nouvelles » couleurs a été livré aux tpg fin 2020 et mis en circulation sur le réseau au début du printemps. Le passage à ces couleurs extérieures et au nouvel intérieur gris, se fera uniquement au gré des renouvellements de véhicules, pour des questions d’optimisation des coûts.

Plus d’informations sur le changement d’horaire du 4 juillet 2021 sur tpg.ch

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Redécouvrir la piste Vita de Versoix

Supplantées par les fitness au tournant des années 1980, les pistes Vita (500 en Suisse) ont à nouveau le vent en poupe. Elles avaient vu le jour il y a près de cinquante ans en Suisse alémanique. On estime qu’entre 10 et 15 % de la population helvétique utilisent ces sentiers sportifs. Ainsi le parcours santé de Versoix connaît-il un regain d’intérêt. Cette piste qui court à travers les bois de la commune est soigneusement entretenue par les Services des Sports et de la Voirie versoisiens. Créée en 1973, elle a été entièrement rénovée en 2008. 

Le départ de ses 2,250 km d’entraînement a lieu devant la cabane du bûcheron. Et ensuite ? Petit jogging dans la forêt et halte (il y a en 17 au total) pour s’étirer, doper son équilibre et sa mobilité, muscler ses biceps ou encore développer son endurance avec des exercices de saut. 

zurichvitaparcours.ch

Chemin des Communs, 1290 Versoix

Arrêt : Centre sportif // Bus : 50, 55

Arrêt : Versoix-Gare // Léman Express : SL1, SL

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Tout ce que l’on fait avec son smartphone dans les transports publics

Les déplacements effectués à bord des bus, trams, trains et navettes lacustres seraient-ils une aubaine pour les voyageurs ? Sans aucun doute. Durant cette parenthèse itinérante, smartphone en mains, on boucle sa correspondance, on dresse ses to do lists, on consulte les sites de cuisine ou de déco et on surfe sur ses réseaux sociaux. 

Combien sont-ils à voyager dans les transports publics, les yeux rivés sur leur téléphone mobile et pour la plupart, écouteurs vissés dans les oreilles ? Une majorité écrasante. Pour s’en convaincre, il suffit de promener un regard circulaire dans les véhicules des transports collectifs. Il est vrai qu’en Suisse, selon une étude réalisée par la société de consulting, d’audit et assurance Deloitte : 92 % des adultes possèdent un smartphone et 92 %, serait-on tenté d’ajouter, en usent abondamment.

Mélissa, 28 ans est étudiante en psychologie. Même si les cours universitaires sont dispensés en distanciel, elle se rend chaque à jour à la bibliothèque d’Uni Mail pour préparer ses examens. La jeune femme, qui emprunte la ligne D des Transports publics genevois (tpg) a mis au point un petit rituel. Ainsi, le matin, elle traite sa correspondance. « Je lis mes mails et mes textos et je réponds aux plus urgents. Ensuite, je sélectionne sur ma playlist des musiques entraînantes, histoire de me mettre en condition avant de commencer ma journée de révision ». Et le soir ? Elle privilégie des chansons relaxantes pour dorloter ses neurones fortement sollicités des heures durant. « Et je me balade sur les réseaux sociaux. J’estime qu’après une journée passée le nez sur les livres, je n’ai pas à culpabiliser de perdre du temps sur la toile ». Elle partage des vidéos qui l’amusent ou elles commentent des prises de position politiques ou sociales de ses followers. L’étudiante confesse que souvent le soir, elle espère que le trajet en bus s’étirera en longueur pour lui permettre de prolonger ce moment de répit. 

Repenser la déco de son appartement

Hélène, éducatrice d’une quarantaine d’années, s’est engouffrée dans le tram 15 qui s’est immobilisé devant la gare Cornavin. Mère de deux jeunes adolescents, la professionnelle de la petite enfance, affirme que ses journées sont denses. « Alors, je profite de mon voyage en tram pour anticiper toute une kyrielle de petites choses utiles. Comme la liste de courses que mon époux effectuera, répartition des tâches domestiques oblige, avant de regagner le domicile ou la mise en marche de la machine à laver ». Mission qui incombe, selon un tournus rigoureux, à sa progéniture. Et puis ? « En ce moment, je suis accro aux sites de décoration et boutiques d’ameublement. Ma meilleure amie a, durant la période de confinement de mars 2020, réorganisé et redynamisé son intérieur. Admirative et envieuse, je l’avoue, face à ses prouesses décoratives, j’ai décidé de lui emboîter le pas. Depuis quelques jours, je surfe sur les sites internet qui proposent des solutions d’aménagement intérieur ou qui font des démonstrations de home-staging ». Une activité qu’elle ne pourrait guère exercer, affirme-t-elle, hors de ses « pauses » transport. 

Vincent, 18 ans, élève de HES, dit que le football est sa passion. Passion qu’il exerce moins sur le terrain que via une application. En quelques glissements habiles sur l’écran de son portable, le voilà propulsé au cœur du match. Ainsi, durant le trajet en bus, qui relie son établissement scolaire à son domicile, il pianote avec la plus grande concentration pour cumuler les goals. Absorbé par ses e-performances footballistiques, il dit que parfois il oublie de s’arrimer à la glissière de sécurité. Une négligence potentiellement dangereuse lorsque le véhicule est contraint de freiner en urgence. « Il m’est déjà arrivé aussi d’oublier de descendre au bon arrêt ».

Consulter des fiches de maths

Elles sont deux, deux jeunes filles souriantes et vives. Leurs yeux sont remarquablement maquillés et les ongles de leurs mains sont recouverts d’un vernis subtilement pailleté. Les deux collégiennes suivent plusieurs influenceuses de mode, ce qui ne les empêchent pas de performer aux épreuves scolaires. Dans le tram qui les conduit au collège Madame de Staël, elles ont l’habitude d’échanger sur les nouvelles tendances des looks exhibés par leurs égéries. Avant un contrôle de maths en revanche, les youtubeuses sont remisées. « Nous avons pris l’habitude de travailler en binôme. Chacune de nous prépare des fiches que nous nous partageons. Il nous arrive de les consulter depuis nos portables (nous avons conçu un document ad hoc) dans le bus juste avant de rejoindre notre salle de classe ». 

Apprendre le russe

Sur le quai de la gare Lancy-Pont-Rouge, Marlène, fait les quatre cents pas, en attendant le Léman Express. Ses discrets écouteurs sans fil sont un peu dissimulés sous sa chevelure abondante. Cette assistante de direction, la cinquantaine pétillante, apprend le russe. C’est pour cela que l’on peut voir quelques mouvements s’esquisser sur ses lèvres. « J’ai découvert un cours gratuit en ligne qui me permet d’apprendre cette langue en y consacrant pas plus d’une dizaine de minutes par jour ». Pour illustrer ses propos, elle énonce quelques mots dans la langue slave. « Je n’aurais ni le temps, ni la patience de consacrer plus que la durée de mon déplacement pour m’adonner à ce que je considère désormais comme une récréation gratifiante », reprend-elle. Il lui arrive aussi de participer à des tests de personnalité via Facebook. « Du style : êtes-vous une warrior ou une princesse ? l’algorithme va ensuite, à partir des données stockées sur le réseau social, fournir une réponse quasi simultanée. Je ne suis pas convaincue de la fiabilité de ces tests mais cela me détend ».

Laurent, 38 ans, jardinier dans une institution publique, semble particulièrement absorbé par ce qui apparaît sur l’écran de son téléphone. Il a tout de même remarqué la présence de l’agent des tpg qui désinfecte scrupuleusement toutes les barres d’appui du véhicule. Laurent confie que depuis l’arrivée de la pandémie, il s’est mis à la confection de plats. « Il y a quelques mois, mes connaissances en cuisine étaient assez rudimentaires. Alors, j’ai consulté des sites de recettes. Et c’est généralement pendant mes voyages en bus que je navigue sur les plateformes culinaires ». 

Des photos de la rade

Antoine, sémillant sexagénaire, a pris l’habitude de traverser la rade à bord d’une Mouette Genevoise. Eté comme hiver, il relie les Pâquis aux Eaux-Vives où se situe son agence de consulting. Amateur de photographie, il aime immortaliser dans la galerie photos de smartphone les cieux tourmentés. « On dirait des peintures flamandes. Quand je serai en retraite j’en ferai des tirages papier », lance-t-il. 

Même si le trajet est assez bref, il n’est pas rare non plus que ce fidèle voyageur lacustre se plonge dans des exercices en ligne sensés doper les facultés mentales. Compétiteur dans l’âme, il prend toujours soin d’inscrire ses scores journaliers sur un petit calepin qu’il consulte de temps en temps. 

On allait presque oublier … Il arrive que certains voyageurs se lancent dans de longues conversations téléphoniques peu ou prou animées.

Effet collatéral inattendu du port du masque obligatoire dans l’ensemble des transports publics, le volume des échanges a perdu de sa puissance.

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Découvrez la Suisse à vélo et en transports publics !

C’est une expérience inoubliable que de se rendre en train confortablement et de manière respectueuse de l’environnement dans une magnifique contrée de Suisse, de pédaler face au soleil et de se laisser reconduire chez soi en fin de journée. Si vous souhaitez vous aussi partir à l’aventure en famille ou entre amis, voici nos conseils pour planifier votre voyage à vélo.

Rent a Bike – votre vélo de location à la gare.

Plutôt que d’emporter votre propre vélo, louez un e-bike ou le vélo de votre choix. Vous pouvez également profiter d’accessoires tels que des sièges pour enfant, des casques ou une remorque. Rejoignez votre destination d’excursion confortablement en train, récupérez votre deux-roues directement en gare et démarrez votre tour.

Plus d’informations sur cff.ch/velolocation

Expédiez votre vélo dans toute la Suisse

Vous prévoyez un week-end ou des vacances dans une région de Suisse et souhaitez emporter votre vélo ? Il vous suffit de le déposer à la gare en tant que bagage. Il arrivera même avant vous à destination.

Plus d’informations sur cff.ch/expedition-velo

Transportez votre vélo dans le train.

Emportez votre vélo en voyage: avec un billet demi-tarif 2e classe, une carte journalière pour vélo ou un abonnement vélo, vous pouvez charger vous-même votre vélo sur de nombreux parcours des transports publics en Suisse. Pour voyager en toute tranquillité avec son vélo dans le train, il est impératif de bien s’organiser. Tout d’abord, il est nécessaire de vous renseigner suffisamment tôt avant votre voyage pour savoir s’il est possible d’emporter votre vélo sur le trajet et à l’heure souhaités. En effet les places pour vélos sont limitées. Il se peut qu’il y ait des restrictions, par exemple, la réservation est obligatoire dans la plupart des trains InterCity ainsi que dans les cars postaux. Il est préférable d’opter pour des itinéraires alternatifs: par exemple prenez un InterRegio pour voyager en toute détente au lieu d’un InterCity très fréquenté, ou empruntez un trajet moins rapide mais plus pittoresque en général. Si vous le pouvez, voyagez en semaine plutôt que le week-end, vous y gagnerez en confort. Nous vous recommandons de consulter l’horaire en ligne et prévoir suffisamment de temps pour garantir l’embarquement et les correspondances de votre itinéraire.

Plus d’informations sur cff.ch/transportvelo

Si vous êtes à la recherche de parcours à vélo en Suisse, vous trouverez de nombreuses idées sur cff.ch/tours-velo.
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Importants travaux sur le pont du Mont-Blanc



D’importants travaux seront réalisés du 31 mai au 12 septembre 2021 sur le pont du Mont-Blanc, ainsi que sur les rues du Mont-Blanc et de Chantepoulet. L’étanchéité du pont sera remise à neuf et la piste cyclable provisoire située du côté amont sera pérennisée et sécurisée pour améliorer la qualité des déplacements à vélo.

Sur les chaussées, un nouveau revêtement phonoabsorbant sera mis en place pour diminuer les nuisances sonores. Ces travaux induiront des perturbations pour la circulation et il est vivement conseillé aux automobilistes de privilégier d’autres itinéraires ou d’autres modes de transport.

La mobilité impactée

Une étroite collaboration entre la Ville de Genève, l’Office cantonal des transports et les Services industriels de Genève (SIG) a permis de regrouper les travaux de ces trois entités, afin d’en minimiser les impacts. Grâce à la déviation des lignes de bus réalisée par les Transports publics genevois (tpg) et à des horaires de travaux élargis pour certaines opérations sur le pont, ce chantier sera condensé sur trois mois et demi, dont les huit semaines de vacances scolaires.

Durant toute la durée du chantier, des voies de circulation devront néanmoins être supprimées pour permettre le déroulement des travaux. Si le pont du Mont-Blanc, la rue du Mont-Blanc (sauf dans le sens « montant » en direction de la gare) et la rue de Chantepoulet resteront ouvertes à la circulation, le trafic motorisé sera néanmoins impacté.

C’est pourquoi, ce secteur doit être évité autant que possible par les véhicules motorisés. Les conducteurs et conductrices sont invité-e-s à privilégier d’autres itinéraires et d’autres modes de déplacement.

Les tpg ont prévu d’importantes déviations pour éviter de circuler dans ce secteur. Toutes les informations à ce sujet sont disponibles sur www.tpg.ch.

Pour les vélos, une déviation sera mise en place pour passer de la rive gauche à la rive droite par le pont des Bergues. A la hauteur de l’horloge fleurie, le dispositif existant destiné spécialement aux cycles permet de traverser le carrefour de manière confortable pour rejoindre la place du Rhône. Dans l’autre sens, une déviation par le pont des Bergues ne sera nécessaire qu’au tout début du chantier et durant deux semaines seulement.

Pour les piéton-ne-s, le trottoir aval du pont du Mont-Blanc sera fermé du 31 mai au 12 juin, nécessitant d’effectuer la traversée par le trottoir amont ou par le pont des Bergues. Enfin, le long de la rue de Chantepoulet, le trottoir sera refait à la hauteur des n°2 et 4 ainsi que sur toute la pointe de l’îlot situé entre la rue de Berne et la rue du Mont-Blanc. Un passage sera maintenu pour les piéton-ne-s et les accès aux commerces.

L’ensemble des impacts sur la mobilité en un clin d’œil 

Les impacts sur la mobilité sont résumés dans le document suivant: impacts sur la mobilité.

Des travaux conséquents

L’étanchéité du pont du Mont-Blanc, datant de 1970, doit être entièrement renouvelée pour assurer la pérennité de l’ouvrage. Elle protège non seulement le tablier du pont, en béton armé, mais aussi la charpente métallique. La nouvelle couche d’étanchéité en « lés de bitume » sera recouverte d’un tapis d’asphalte, car cette matière garantit une bonne imperméabilité. Puis, en surface, un nouveau revêtement phonoabsorbant sera mis en place.

Ces travaux d’entretien sont également l’occasion de pérenniser et de sécuriser la bande cyclable tracée sur la chaussée. Une piste cyclable, séparée du trafic par une barrière, sera construite à la même hauteur que le trottoir. Cet aménagement permettra d’assurer une connexion optimale entre la rive gauche et la rive droite, en reliant les nouvelles pistes cyclables bi-directionnelles le long des quais, offrant ainsi un itinéraire sécurisé entre Genève-Plage et la Perle du Lac.

Sur la rue du Mont-Blanc et la rue de Chantepoulet, la mise en place d’un nouveau revêtement phonoabsorbant réduira les nuisances sonores liées au trafic. A la rue de Chantepoulet, une partie des trottoirs sera refaite.

Enfin, ce chantier permet également le renouvellement d’une conduite d’eau potable et d’une batterie électrique par SIG, située au carrefour entre la rue et le pont du Mont-Blanc.

Plusieurs étapes de chantier

Si les perturbations pour la circulation sont attendues pendant toute la durée du chantier, les travaux se déroulent successivement sur les rues du Mont-Blanc et de Chantepoulet. Une information préalable a été donnée aux hôtels et commerces d’importance le long de cet axe.

La carte des différentes étapes de chantier est accessible en cliquant ici.

Trois mois et demi pour l’ensemble des travaux

Le chantier a été planifié en été pour bénéficier de conditions météorologiques favorables. Les travaux d’étanchéité doivent être effectués sur un support sec et la mise en place du revêtement phonoabsorbant nécessite des températures supérieures à 15°. La période estivale est également propice en raison de la diminution des flux de déplacements durant les vacances scolaires.

Pour tenir les délais des travaux sur le pont du Mont-Blanc certaines opérations seront aussi réalisées de nuit. De plus, quelques travaux de pose d’enrobés devront être effectués durant certains week-ends, avec des restrictions de circulation ponctuelles.

La Ville de Genève, l’Etat de Genève et les Services industriels de Genève conjuguent leurs efforts pour assurer le bon déroulement de cet important chantier et remercient d’ores et déjà les riverain-e-s et le public de leur patience et de leur compréhension.

Plans des déviations et itinéraires cyclables

Pour toute information complémentaire:

  • M. Serge Dal Busco, conseiller d’Etat chargé du département des infrastructures, par l’intermédiaire de M. Roland Godel, porte-parole, DI, T. 078 802 90 07;
  • M. Frédérique Perler, conseillère administrative chargé du département de l’aménagement, des constructions et de la mobilité, par l’intermédiaire de Mme Anaïs Balabazan, déléguée à l’information et à la communication, T. 022 418 20 53.