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La bonne humeur s’invite au rallye des 20 ans d’unireso

Soleil radieux et bonne humeur étaient au rendez-vous du rallye public organisé à l’occasion des 20 ans de la communauté tarifaire unireso. Une cinquantaine d’équipes, tous âges confondus, ont pacifiquement croisé le fer pour décrocher l’un des nombreux prix récompensant le périple urbain. Il fallait en effet résoudre des énigmes pour trouver les étapes du parcours remplir les grilles de mots croisés, emprunter les bus, trains, trams et Mouettes Genevoises et … enfin répondre aux questions surprises.

Lorenzo, 12 ans n’est pas un participant ordinaire. C’est un véritable aficionado des Transports publics genevois (tpg). Il s’est inscrit avec sa maman et son ami Arthur. C’est sur tiktok qu’il a fait la connaissance de ce dernier, qui partage la même passion. « Nous avons tous les deux une page dédiée aux bus et trams sur les réseaux sociaux. Et il n’est pas rare d’ailleurs que les tpg relaient nos vidéos », affirme le jeune garçon, avant de se lancer dans le roadtrip.
Au QG d’unireso, installé devant la gare Cornavin, les globe-trotters d’un jour arrivent par petits groupes, distanciation sociale oblige ! Des rires, de l’effervescence ? Sans aucun doute. Les couples, parmi lesquels un sémillant duo de 80 printemps, les groupes de jeunes gens, les bonnes copines et les familles n’ont guère boudé leur plaisir. Tout avait été réglé comme du papier à musique par Sylvie Léger, responsable de la communication d’unireso. Les 50 équipes inscrites, dont certaines avaient choisi des noms de baptême cocasses, comme : « Les Genevois que ça », « Les Pipelettes » ou encore « Nurses Survivor », se sont succédé à intervalles réguliers devant le stand. Chacune recevait alors roadbook, stylos, gourde, gels hydroalcooliques.

Et ensuite ? Il fallait s’élancer en quelque sorte « à l’assaut » de la Ville. Et repérer les  postes de commandement où des hôtesses, placées en trois points stratégiques, attendaient d’apposer les précieuses estampilles sur le carnet de route. 

Aux alentours de 13 heures, la première équipe était de retour à la « case » Cornavin. Suivie de près par d’autres candidats heureux d’avoir décrypté le circuit. On pouvait voir alors les concurrents plancher encore sur les jeux qui faisaient joyeusement carburer les neurones. 

En fin de journée, une même question courrait sur toutes les lèvres : à quand le prochain rallye unireso ?